• Un excellent article non écrit par moi mais dont je me permets de vous retranscrire ici. Il est disponible sur le site "Mutien.com"

    La majorité des personnes pensent que l’Homme est omnivore et qu’il est fait pour manger de la viande et du poisson…

    Et si aujourd’hui je vous prouvais que tout cela est FAUX ?

    Bien entendu la majorité d’entre-vous me diront que je me trompe, que nous somme bien des omnivores et que tout cela n’est que hasard… Ah il fait bien les choses ce hasard !

    A ces personnes, je leur répondrais comme Mark Twain :

    « Il est plus facile de tromper les gens que de les convaincre qu’ils ont été trompés. »

    Et si la raison de toutes ces maladies qui nous touchent était justement à cause de la consommation de viande et de poisson ? (Et du lait que nous aborderons dans un autre chapitre).

    Le sujet a été traité par les plus grands noms : Vinci, Carl Linné et bien d’autres…

    Malheureusement toutes ces informations nous sont cachées ou tout simplement jamais abordées…

    A l’école, les professeurs n’abordent jamais ce sujet, ni les merdias (qui ne l’oubliez jamais > appartiennent aux lobbys !),  ni les politiques…

    Pourquoi ?

    « La classification des formes, des fonctions organiques et des régimes a montré d’une façon évidente que la nourriture normale de l’humain est VÉGÉTALE. (ne vous en déplaise) »

    « D’après son anatomie l’Homme n’a pas été physiologiquement  préparé pour manger de la viande, ni du poisson. »

    L’Homme a exactement les mêmes caractéristiques anatomiques et physiologiques que les herbivores et non celles des omnivores ou des carnivores.

    Nos canines ont la même taille que les autres dents : c’est le cas des herbivores. Exemple : les chevaux, les chameaux, …

    De plus, contrairement aux omnivores et carnivores, l’Homme cuit la viande (sinon risques de maladies et de mauvaise digestion), et la vue d’un cadavre nous dégoûte au lieu de nous affamer.

    Les nourrissons et les enfants en bas âge détestent la viande !

    Beaucoup de gens mangent de la viande parce-que pour eux, c’est la nature de l’Homme….

    Alors que des études très sérieuses prouvent le contraire !!!

    Voici quelques exemples de comparaison entre les Carnivores / Omnivores / Herbivores et l’Homme :

     

    1. Capacité de l’estomac :

    Carnivore : 60-70% du volume total de l’appareil digestif.

    Herbivore : Moins de 30% du volume total de l’appareil digestif.

    Omnivore : 60-70% du volume total de l’appareil digestif.

    Humain : 21 à 27% du volume total de l’appareil digestif.

     

    2. Acidité de l’estomac :

    Carnivore : pH inférieur ou égal à 1.

    Herbivore : pH variant entre 4 et 5.

    Omnivore : pH inférieur ou égal à 1.

    Humain : pH variant entre 4 et 5.

     

    3. Salive :

    Carnivore : Acide, Glandes salivaire peu développées, Pas de ptyaline.

    Herbivore : Alcaline, Beaucoup de ptyaline, Glandes salivaires développées.

    Omnivore : Acide, Glandes salivaire peu développées, Pas de ptyaline.

    Humain : Alcaline, Beaucoup de ptyaline, Glandes salivaires développées.

     

    4. Les Canines :

    Carnivore : Très longues, fortes, grosses.

    Herbivore : Taille réduite ou inexistantes.

    Omnivore : Très longues, fortes, grosses.

    Humain : Taille réduite.

     

    5. Le Foie :

    Carnivore : Désintègre très bien l’acide urique et la vitamine A.

    Herbivore : Désintègre uniquement l’acide urique produit par le corps et mal la vitamine A.

    Omnivore : Désintègre très bien l’acide urique et la vitamine A.

    Humain : Désintègre uniquement l’acide urique produit par le corps et mal la vitamine A.

     

    6. La Peau :

    Carnivore : Pas de pores. Refroidissement par halètement.

    Herbivore : Beaucoup de pores. Transpiration par la peau.

    Omnivore : Pas de pores. Refroidissement par halètement.

    Humain : Beaucoup de pores. Transpiration par la peau.

     

    7. Intestin grêle :

    Carnivore : 3 à 6 fois la longueur du corps.

    Herbivore : 10 à 12 fois la longueur du corps.

    Omnivore : 4 à 6 fois la longueur du corps.

    Humain : 4 fois la longueur du corps.

     

    8. Les Ongles :

    Carnivore : Griffe (fortes, dures).

    Herbivore : Ongles mous (ou sabot).

    Omnivore : Griffe (fortes, dures).

    Humain : Ongles mous.

     

    9. Mâchoire :

    Carnivore : Mobile verticalement (pour déchirer, lacérer).

    Herbivore : Mobile verticalement et latéralement (pour mastiquer, broyer).

    Omnivore : Mobile verticalement (pour déchirer, lacérer).

    Humain : Mobile verticalement et latéralement (pour mastiquer, broyer).



    10. Muscles mâchoire :

    Carnivore : Muscle temporal.

    Herbivore : Muscle masséter.

    Omnivore : Muscle temporal.

    Humain : Muscle masséter.


    11. Urine :

    Carnivore : Acide.

    Herbivore : Alcaline.

    Omnivore : Acide.

    Humain : Alcaline.

     

    12. Vitamine C :

    Carnivore : Capable de synthétiser avec son organisme.

    Herbivore : Nécessite un apport quotidien par la nourriture.

    Omnivore : Capable de synthétiser avec son organisme.

    Humain : Nécessite un apport quotidien par la nourriture.

     

    13. L’Urase :

    Carnivore : Présence d’urase (décompose l’acide urique de la viande).

    Herbivore : Pas d’Urase.

    Carnivore : Présence d’urase (décompose l’acide urique de la viande).

    Humain : Pas d’Urase (il décompose mal le toxique acide de l’urique).

     

    14. Le Colon :

    Carnivore : Cours, simple et lisse.

    Herbivore : Long, complexe avec villosités.

    Omnivore : Cours, simple et lisse.

    Humain : Long, complexe avec villosités.

     

    15. Muscle du visage et de la bouche :

    Carnivore : Réduit pour une grande ouverture de la bouche.

    Herbivore : Bien développé. Petite ouverture de la bouche.

    Omnivore : Réduit pour une grande ouverture de la bouche.

    Humain : Bien développé. Petite ouverture de la bouche.

     

    16. Reins :

    Carnivore : Urine très concentrée.

    Herbivore : Urine concentrée modérément.

    Omnivore : Urine très concentrée.

    Humain : Urine concentrée modérément.

    * * *

    Vous avez bien vu les points communs entre les Herbivores et l’Humain ?

    TOUS les scientifiques ayant étudié le sujet sont d’accord :

    L’Homme n’est pas conçu pour être omnivore !

    * * *

    Pourquoi renier notre vraie nature ?

    Je vais terminer cet article par une information qui je l’espère vous fera (enfin) réfléchir :
    Entre les deux guerres (14/18 et 39/45) les boucheries ont ouverts leurs portes dans les villages. Dès ce moment, la clientèle chez les médecins a augmenté de 200% !!!

    A méditer et ne dites plus « je ne savais pas » !

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  • je ne sais pas si c'est national mais dans ma ville, Biocoop a lancé une campagne publicitaire originale, avec de grandes affiches à chaque arrêt de tram. 

    Elles interpellent les passants sur notre mode de consommation, en recommandant de se renseigner sur la nature des produits que nous mangeons ou utilisons.

    Notamment sur les fraises et les produits de cosmétique.

    Je rappelle pour les Puy-dômois que la Biocoop du 63 se trouve à Cournon, à côté d'Elancia.

    Mais sinon vous avez L'Eau vive, Bio Auvergne, le Panier Bio. Pour les autres, les enseignes deviennent légion!

    Campagne de pub Biocoop

     

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  • Suite au visionnage de l'excellent «Notre poison quotidien » de Marie-Monique Robin, il m'a paru évident de vous faire un résumé de ce documentaire choc que je vous engage à regarder le plus rapidement possible.

    Il traite de la contamination de notre environnement et de notre mode de vie par les 100,000 molécules chimiques qui ont envahi entre autre notre alimentation depuis ces 50 dernières années. Règlementation des produits, pesticides, addictifs, perturbateurs endocriniens et le lien qui les lient à l'augmentation de certaines maladies, la sur-exposition à ces substances dangereuses.

    Dans les années 60, des publicités nord-américaines dénonçaient les pesticides. Le danger de l'empoisonnement était déjà connu.

     

    Selon l'OMS, chaque année entre 1 et 3 millions de personnes sont victimes d'intoxiquées aux pesticides, dont 200,000 morts.

    La France est tristement le premier pays européen utilisateur de pesticides avec 80,000 tonnes.

    La Mutuelle de Santé Agricole a de ce fait un programme de surveillance des pesticides.

    En 2009, 271 intoxications aigües ont été recensées.

    Parmi les impacts négatifs de ces polluants chimiques, les maux de tête et les symptômes neurologiques, causés par les insecticides. Mais également les herbicides dont les dommages sont cutanés et digestifs.

    Dans les années 90, des études italiennes scandinaves et américaines ont démontré que la population agricole était plus sensible aux cancers neurologiques, Parkinson (avec le pesticide 2.4 D).

     

    Jusqu'à peu, l'impact négatif des pesticides sur le personnel était un sujet tabou. Seules les intoxications aigües étaient évoquées mais pas les conséquences des expositions chroniques. Désormais il y a trop de cas et de ce fait, certains produits sont interdits car trop persistants dans l'environnement.

    Bien que les cancers du cerveau, de la peau, de la prostate sont concernés, ceux du sang sont les plus courants.

     

    L'Union des Industriels de la Protection des Plantes est la représentante des fabricants des pesticides. On y trouve 19 adhérents dont les gros Du Pont, Bayer, Monsanto, Dow.

    Evidemment son président nie le lien entre exposition aux agents chimiques et les maladies. Il déclare que cela n'est pas démontré clairement.

     

    Selon des documents officiels, la pollution chimique ne serait responsable que de 0,5% des cancers.

    Bien-sûr, les autorités affirment que les pesticides utilisés actuellement ne sont pas cancérigènes,ni chez l'animal ni chez l'homme!

     

    Le CIRC est l'organisme qui classe les produits chimiques en fonction de leur potentiel cancérigène :

    • Classe 1) Cancérigène pour l'Homme, comme l'amiante

    • Classe 2 A) Probabilité de l'être pour les humains

    • Classe 2 B) Possibilité de l'être pour l'Homme, en fonction des données testées sur les animaux.

    • Classe 3) Inclassables (+ de la moitié des produits), non testés

     

    A savoir que seule une vingtaine de produits a été testée par le CIRC.

    On ne peut se fier qu'à ceux-ci puisque les résultats effectués par les firmes productives en sont jamais publiés !

     

    Bien-sûr qu'il existe des traces de pesticides dans les aliments que nous consommons. Seulement pour réglementer les traces de ces saloperies dans nos fruits et légumes, il n'existe que la Dose Journalière Admissible. C'est la quantité de pesticides qui peut être ingérée quotidiennement et pendant toute une vie sans aucun risque.

     

    Marie-Monique Robin a notamment interrogé Diane Bentford qui explique la DJA dans un livre, publié par l'INSI, organisme financé par les industries de la chimie et de l'agro-alimentaire.

    Elle part du principe que seule la dose fait le poison. Donc elle ne prend pas en compte les différentes sensibilités, âges, poids qui nous diffèrent les uns des autres.

    Aucun produit n'est mortel, il faut juste connaître sa limite de dose toxique....

    Et évidemment encore des tests sur les animaux de laboratoire.

    Tout dépend de ces études! Le facteur sécurité de 100 employé pour calculer la DJA est un chiffre « au pif »! Cela, des experts en environnement le dénoncent!

     

    D'autant que cette DJA ne tient pas compte des résidus de pesticides sur les aliments, appelés LMR et impossibles à vérifier.

    L'Autorité Européenne pour la Sécurité des Aliments part du principe incroyable qu'elle connait les habitudes alimentaires de chaque pays et la manière dont les aliments ont été traités.

     

    Le plus fort, c'est que ce sont les industriels producteurs de pesticides qui envoient les résultats de leurs tests aux organismes de la sécurité alimentaire. Et bien entendu ces tests ne sont pas publiés, ni même les ingrédients, encore moins leur toxicité...

    A 25 milliards d'€ par an engrangés et 140,000 tonnes de produits pulvérisés, il faut bien protéger le secret...

     

    Là où on se fout le plus de notre gueule c'est avec l'aspartame.

    Pour faire simple, au début, cet additif était considéré comme dangereux et interdit sur les marchés américains et européens.

    Le laboratoire créateur avait mourir et ressusciter plusieurs fois le même rat et un neurochirurgien avait prouvé sa toxicité. Mais des liens entre le gouvernement américain et le dit laboratoire ont finalement autorisé sa mise sur le marché américain et par ricochet, sur celui européen.

    A savoir que les études publiées par le producteur ne donnent aucun point négatif à l'aspartame alors que les études faites par des labos indépendants lui attribuent environ 92 effets nocifs dont cancérigènes.

     

     

    Enfin Marie-Monique Robin s'intéresse au plastique. On en consomme près de 92 kg par habitant et par an. Ce perturbateur endocrinien a de multiples effets négatifs : diabète, cancers, troubles du comportement, …

    Bien que l'impact négatif du BPA (présent surtout dans l'alimentation) ai été prouvé, les fabricants nous répètent que les doses sont minimes et insignifiantes.

     

    Avec ce cocktail détonant de BPA et de pesticides dans notre alimentation, les pays riches et occidentaux sont les pays les plus touchés par les cancers. Notre mode de vie pourri et notre environnement pollué vont de pair avec notre consommation excessive d'intoxicants.

     

    Et malheureusement pour les pays en voie de développement qui adoptent ces mêmes mauvaises habitudes, les cancers apparaissent ou augmentent.

     

    Dans la rubrique "vidéos", retrouvez le lien du documentaire.

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    La graine de chia

     

    La graine de chia, appelée aussi graine de Salba est originaire du Mexique. De la famille des sauges, elle peut être considérée comme un super aliment, loué par les nutritionnistes ou foodistas.   

     

    Ses propriétés

    Le chia est riche en huile, donc en oméga 3 (15 à 17%, plus que dans le saumon!) et en oméga 6 (6%) qui renforcent le système immunitaire. Il l'est également en fibres solubles qui contrôle la glycémie, le cholestérol et fait ressentir la sensation de satiété.

    Il possède un pouvoir anti-inflammatoire et régule la pression artérielle. Comme la spiruline, il contient des antioxydants, des minéraux, du calcium, de la vitamine B9, du fer et 1/4 de protéines. La graine contient une part importante de phosphore et de manganèse.

    Le chia accroît l'énergie et aide à la digestion. Les nutritionnistes ont aussi noté sa haute teneur en lipides (25 à 38%). Les Aztèques l'utilisaient comme traitement des infections.

    Selon une étude, des chercheurs ont découvert que des patients atteints de diabète de type 2 qui consommaient 37g de chia quotidiennement, voyaient leur taux de protéine C réactive diminuer de 32%, une diminution de la pression systolitique et une amélioration du taux de glycémie. 

    De plus, cette graine est presque exempte de toxique ou phyto-hormonal.

    Pour 100g voici ce qu'on trouve :

    • 20.7g de protéines
    • 32.8g de lipides dont 18g d'oméga 3
    • 41.8g de glucides dont 41.2g de fibres
    • 714mg de calcium
    • 16.4mg de fer
    • 613mg de vitamines B3

     

    Son histoire

    Les Aztèques auraient été les premiers à cultiver cette graine, dans la vallée de Mexico, environ 2000 ans avant notre ère.

    Cultivée à l'époque précolombienne, elle était une des bases de l'alimentation de certains anciens peuples Mexicains (avec des des haricots rouges et du maïs chez les Aztèques), servait en médecine et comme offrande aux dieux aztèques. Les reliques religieuses étaient ointes avec son huile.

    Cette civilisation s'en servait aussi comme boisson, en trempant le chia dans l'eau. Le pinole, était un mélange avec des graines grillées et moulues, ajoutées du jus de fruits ou de légumes.

     

    A quoi ça ressemble?

    La graine peut être de couleur pâle (= riche en nutriments) ou brune (son goût est alors plus fort). Elle provient d'une plante annuelle mesurant 1 mètre de hauteur., avec des fleurs blanches ou mauves. Les graines sont toutes petites et allongées, comme les graines de sésame.

    Chia signifie force en maya ou huileux en aztèque. On la retrouve d'ailleurs dans ces 2 civilisations. pourquoi graine de Salba? c'est la contraction de salvia (sauge), famille dont elle est issue et alba (blanche), qui est la graine la + riche en nutriments.

    Chia provient de chiyan, sauge en nahuatl (langue aztèque). 

     

    Où en trouver?

    Aujourd'hui le chia est cultivé au Mexique, en Bolivie, Argentine, Equateur, Australie et Guatemala.

    En France, il est distribué en magasins bio sous les marques Markal ou Uberti. Et sur internet sur les sites Keimling ou Nutri Naturel.

    Environ 10€ les 300g. A saupoudrer vos salades, soupes, yaourts, céréales.

     

    Sources : Wikipedia, chia.fr, graines-chia.info, l'express du 06/06/13. et merci à Doutzen Kroes qui m'a fait découvrir cette graine!

     

    La graine de chia

     

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  • Ce roman fait une plongée dans le monde de l'élevage industriel. On découvre les 180 jours de la vie d'un cochon dans ces conditions, entre sa naissance et son abattage. Au fil du livre, l'auteure nous présente 2 portraits croisés, celui d'un chercheur en philosophie qui enquête sur la question animale et celui d'un employé de l'élevage qui va le faire rentrer à l'intérieur.

    "180 jours", d'Isabelle Sorente, aux éditions JC Lattès

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